Médecins engagés : comment continuer à soigner avec sens en dehors des missions humanitaires ?

[LiTraveler]

Bonjour à toutes et à tous,
J’ai longtemps œuvré dans des missions humanitaires, en Afrique de l’Ouest puis en Europe de l’Est. Comme beaucoup de vous certainement, je me suis posé mille questions au retour : comment rester utile ? Comment ne pas perdre ce sens profond du soin et de l’engagement humain, une fois revenu dans un système de santé plus classique ?
Récemment, j’ai découvert que certaines régions en France, notamment en Normandie, recherchent activement des médecins, généralistes ou spécialistes, dans des contextes où la proximité, la relation humaine et l’utilité sociale restent très fortes. J'ai trouvé que Emplois Medecins Normandie recense des opportunités qui m’ont beaucoup parlé. je me dis qu'il y a une vraie volonté d’allier exercice médical et utilité sociale.
Avez-vous déjà envisagé ce type de transition ? Peut-on rester "humanitaire" dans l’âme en exerçant ici, dans des zones sous-dotées mais pleines de vie ?
Vos retours m’intéressent beaucoup !
Solidairement.

[LiTraveler]

Hello !?
Quelqu'un a vu mon message ?
Répondez moi je vous prie

[GO]

Bonjour à toutes et à tous,
J’ai longtemps œuvré dans des missions humanitaires, en Afrique de l’Ouest puis en Europe de l’Est. Comme beaucoup de vous certainement, je me suis posé mille questions au retour : comment rester utile ? Comment ne pas perdre ce sens profond du soin et de l’engagement humain, une fois revenu dans un système de santé plus classique ?
Récemment, j’ai découvert que certaines régions en France, notamment en Normandie, recherchent activement des médecins, généralistes ou spécialistes, dans des contextes où la proximité, la relation humaine et l’utilité sociale restent très fortes. J'ai trouvé que Emplois Medecins Normandie recense des opportunités qui m’ont beaucoup parlé. je me dis qu'il y a une vraie volonté d’allier exercice médical et utilité sociale.
Avez-vous déjà envisagé ce type de transition ? Peut-on rester "humanitaire" dans l’âme en exerçant ici, dans des zones sous-dotées mais pleines de vie ?
Vos retours m’intéressent beaucoup !
Solidairement.

Bonjour,
Passer de l'humanitaire international à des actions locales fait partie souvent du parcours de nombreuses personnes engagées. Il faut ensuite trouver le sens que l'on veut valoriser dans cette petite reconversion. Travailler dans des zones délaissées me semble être une bonne alternative qui démontre un certain engagement. La question est plus de savoir si vous allez y trouver votre compte. L'un dans l'autre, vous pouvez aussi rester engagée dans la coopération internationale de manière bénévole, tout en travaillant sur des actions locales en France.
Je vous souhaite bonne chance pour la suite.