émetteur à recut réponse des recepteur-émetteur
Publié : sam. avr. 09, 2005 12:42 pm
Je voulais répondre à « umit ». Et j’ai toujours les oreilles ouvertes à toutes remarque de qui conque.
Merci des remarques.
Sur ce que je disais à propos de "L'homme est naturellement égocentrique" je vais essayer de mieux exprimer mes pensées. Voila comment je le voie : il est vrai que l’homme est un être sociale. Qui pourrait vivre seule ? L’enfant déjà à la naissance illustre se besoin vitale de l’autre. Il faut également se rappeler que même plus âgé un jeune enfant livré à la solitude se laisse littéralement mourir, qu’ un enfant dépourvue de stimulations extérieurs humaine aura des retards d’ordre moteur et psychologique qui le rendrons à tout jamais inapte à devenir autonome. Notre besoin de l’autre se poursuit à l’âge adulte. Très peu de personne peuvent vivre dans la solitude totale (je vois que les ermites). La légende ne dit elle pas que dans la solitude l’home devient fou ? Dans un degré plus léger, si comme je le pense l’homme est un être qui se construit toute sa vie. Comment enrichir nos connaissances seule ? La limite arriverait bien vite.
L’homme à besoin des autre. Mais l’homme de nos société moderne deviennent égocentrique, effectivement par l’éducation (parentale, scolaire, sociétale,….). Assurément pour bien vivre il faut souvent faire barque seule. A mes yeux ceci est une perte de temps, a plusieurs sa serai drôlement plus simple. Le partage des savoirs est la clé.
Nous avons perdue le besoin du groupe (du moins on le refoule). Qui na jamais voulut s’insérer dans une conversation ou l’on ne la pas été invité ? Tous mais notre éducation nous l’interdit. « Cela ne vous regarde pas, se ne sont pas vos affaires ! ». Faux ! Si cela nous perturbe, cela devient nos affaires !
Quand à la communication unilatérale, je me pose une question : comment adapter son discours pour le rendre compréhensible de tous si personne ne fait de retour. C’est un drôle de pari. C’est mieux que rien certes. Mais nous pouvons faire plus. J’ai juste un peu peur de la parole intrusive (ou geste). On sais que sa va vous faire du bien alors on fait, s’en demander l’avis à l’intéressé.
Quand au problème d’agir à l’injustice visible au quotidien, n’es-ce pas notre sentiment de culpabilité ou la probité d’être dans la même situation qui nous fait peur ? Quand c’est naturelle et incontrôlable, ce n’est pas de notre faute, on pouvait rien faire, c’était trop loin…..
Quand mes capacité actuel et aux ordre de priorité : je ne pense pas avoir la capacité (connaissances, affectif) pour aider dans la lutte « active » contre la faim et la maladie. Quand les personnes sont dans des situations de mort prochaine, je crois que seul les médecins et autres membres médicaux d’expérience sont suffisamment armés pour y faire face.
Personnellement mes capacités ne permettent pas d’aider physiquement à ses droits plus que premier. Par contre je me sens capable de m’engager dans le droit à l’éducation pour tous, le respect de l’autre, et autres ….
Un ami à mi ma fait une remarque plus que bien venue : « le débat n'est pas toujours sur le "pourquoi" mais sur le comment ». C’est vari qu’a trop vouloir comprendre se qui à amener l’homme à ses inégalités, de vouloir cerner le pourquoi du besoin de s’engager dans l’humanitaire et le sociale, on court le risque de ne jamais agir. Se questionner c’est bien mais souvent c’est l’action qui permet de comprendre le pourquoi. (Enfin c’est se que je crois).
Qu’en au retour que ma fait « chanceux » : avoir un maître spirituel serai mettre au rang d’être supérieur un homme. Or tout homme est faible, ce qui le rend humain et accessible. Je suis athée (mais respecte les convictions religieuses des autres). Avoir des convictions de cœur me semble plus profitable à la construction de chaque un. Personnellement celles des droits de l’enfant, de l’homme, de l’éducation populaire et éducation nouvelle sont des idéaux pour les quelles la société doit tendre.
Si vous pensez avoir des infos pour m’aider à agir, c’est plus que le bien venue. (Là j’ai vraiment besoin d’aide car je ne sais plus comment avancer pour pouvoir faire se qui me tien à cœur).
Emilie
Merci des remarques.
Sur ce que je disais à propos de "L'homme est naturellement égocentrique" je vais essayer de mieux exprimer mes pensées. Voila comment je le voie : il est vrai que l’homme est un être sociale. Qui pourrait vivre seule ? L’enfant déjà à la naissance illustre se besoin vitale de l’autre. Il faut également se rappeler que même plus âgé un jeune enfant livré à la solitude se laisse littéralement mourir, qu’ un enfant dépourvue de stimulations extérieurs humaine aura des retards d’ordre moteur et psychologique qui le rendrons à tout jamais inapte à devenir autonome. Notre besoin de l’autre se poursuit à l’âge adulte. Très peu de personne peuvent vivre dans la solitude totale (je vois que les ermites). La légende ne dit elle pas que dans la solitude l’home devient fou ? Dans un degré plus léger, si comme je le pense l’homme est un être qui se construit toute sa vie. Comment enrichir nos connaissances seule ? La limite arriverait bien vite.
L’homme à besoin des autre. Mais l’homme de nos société moderne deviennent égocentrique, effectivement par l’éducation (parentale, scolaire, sociétale,….). Assurément pour bien vivre il faut souvent faire barque seule. A mes yeux ceci est une perte de temps, a plusieurs sa serai drôlement plus simple. Le partage des savoirs est la clé.
Nous avons perdue le besoin du groupe (du moins on le refoule). Qui na jamais voulut s’insérer dans une conversation ou l’on ne la pas été invité ? Tous mais notre éducation nous l’interdit. « Cela ne vous regarde pas, se ne sont pas vos affaires ! ». Faux ! Si cela nous perturbe, cela devient nos affaires !
Quand à la communication unilatérale, je me pose une question : comment adapter son discours pour le rendre compréhensible de tous si personne ne fait de retour. C’est un drôle de pari. C’est mieux que rien certes. Mais nous pouvons faire plus. J’ai juste un peu peur de la parole intrusive (ou geste). On sais que sa va vous faire du bien alors on fait, s’en demander l’avis à l’intéressé.
Quand au problème d’agir à l’injustice visible au quotidien, n’es-ce pas notre sentiment de culpabilité ou la probité d’être dans la même situation qui nous fait peur ? Quand c’est naturelle et incontrôlable, ce n’est pas de notre faute, on pouvait rien faire, c’était trop loin…..
Quand mes capacité actuel et aux ordre de priorité : je ne pense pas avoir la capacité (connaissances, affectif) pour aider dans la lutte « active » contre la faim et la maladie. Quand les personnes sont dans des situations de mort prochaine, je crois que seul les médecins et autres membres médicaux d’expérience sont suffisamment armés pour y faire face.
Personnellement mes capacités ne permettent pas d’aider physiquement à ses droits plus que premier. Par contre je me sens capable de m’engager dans le droit à l’éducation pour tous, le respect de l’autre, et autres ….
Un ami à mi ma fait une remarque plus que bien venue : « le débat n'est pas toujours sur le "pourquoi" mais sur le comment ». C’est vari qu’a trop vouloir comprendre se qui à amener l’homme à ses inégalités, de vouloir cerner le pourquoi du besoin de s’engager dans l’humanitaire et le sociale, on court le risque de ne jamais agir. Se questionner c’est bien mais souvent c’est l’action qui permet de comprendre le pourquoi. (Enfin c’est se que je crois).
Qu’en au retour que ma fait « chanceux » : avoir un maître spirituel serai mettre au rang d’être supérieur un homme. Or tout homme est faible, ce qui le rend humain et accessible. Je suis athée (mais respecte les convictions religieuses des autres). Avoir des convictions de cœur me semble plus profitable à la construction de chaque un. Personnellement celles des droits de l’enfant, de l’homme, de l’éducation populaire et éducation nouvelle sont des idéaux pour les quelles la société doit tendre.
Si vous pensez avoir des infos pour m’aider à agir, c’est plus que le bien venue. (Là j’ai vraiment besoin d’aide car je ne sais plus comment avancer pour pouvoir faire se qui me tien à cœur).
Emilie