En Côte d’Ivoire, premier pays au monde frappé par l’Ulcère de BURULI, notre association coeur d’or pour les enfants(créer par des jeunes étudiants dont le président est Monsieur Nobout ange-camille) à décidé d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Ce fléau est entrain de prendre une nouvelle ampleur, de nouveaux vecteurs apparaissent, laissant entrevoir une catastrophe annoncée.
Au delà des morts, des mutilés et de la souffrance, des pans entiers de la population sortent très lourdement handicapés des séquelles de la maladie. Ils seront autant de freins au développement de leurs villages, de leur pays. Ces enfants qui ne pourront plus tard travailler pour cause d’handicap trop lourd, seront des charges insupportables pour leurs semblables.
“…LA SEULE SOLUTION FACE A LA MALADIE EST LA CHIRURGIE …”, annonce l’O.M.S. ” …
Au delà de 30 Km les patients ne se déplacent plus …” Etude statistique du Professeur ASSE. Nous avons besoin d’aides afin de pouvoir rendre notre centre de santé fonctionnel, notre plus grand besoin se trouve au niveaux du matériel: un véhicule de liaison et l’aménagement de notre salle de classe en matériel informatiques nous avons un total de 70 pensionnaires. Nous serons heureux d’aider encore plus ces enfants qui souffrent et qui ont sérieusement besoin d’aides. Veuillez s’il vous plait contacter Mr Nobout ange-camille pour vos dons et pour toutes préoccupations.
Tel : +22504929264 ou par mail à l’adresse de l’association.
Nous devons URGEMENT construire des structures d’accueil pour endiguer ce qui pourrait bien être une catastrophe à venir. AIDEZ NOUS À REUSSIR
coeurdorpourlesenfants@yahoo.fr
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Selon l’OMS les traitements sont les suivants :
Traitement
Les recommandations actuelles sont les suivantes :
1. Une association de rifampicine et de streptomycine/amikacine pendant 8 semaines comme traitement de première intention pour toutes les formes évolutives de la maladie. On peut traiter en ambulatoire les nodules et les cas sans complications.
2. La chirurgie pour enlever les tissus nécrosés, corriger les défauts cutanés et les déformations.
3. Des interventions pour réduire le plus possible ou prévenir les incapacités.
L’expérience cumulée des traitements d’environ 300 patients au Bénin, au Cameroun et au Ghana montre que le traitement à la rifampicine et à la streptomycine (RS), pendant huit semaines et conformément aux directives de l’OMS, permet d’obtenir une guérison complète de 50 % des lésions. Il est également intéressant de noter qu’on peut traiter certains de ces patients en ambulatoire. Les rechutes après le traitement antibiotique représentent moins de 2 % des cas, contre 16 à 30 % après un traitement chirurgical. Ces éléments encourageants modifient la stratégie pour combattre et traiter l’ulcère de Buruli qui, jusqu’en 2004, s’était axée sur le traitement chirurgical.
Liens sur l’OMS et quelques explications sur l’ulcère Buruli: http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs199/fr/