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Quatre mois après l’éloignement de la présidente Dilma Rousseff, les conséquences du coup d’Etat sont déjà nettes. Les grandes entreprises se frottent les mains, pendant que les programmes sociaux et le service public sont attaqués.
Les manifestations en faveur de la destitution de la présidente s’abritaient derrière des mots d’ordre parfois populaires, comme le combat contre la corruption. Mais, dans la pratique, les quatre premiers mois du gouvernement Temer (Michel Temer, ancien vice-président issu du PMDB, est aujourd’hui président par intérim, Ndlr.) en exercice montrent clairement à qui a profité le coup d’Etat.
Depuis 2008, l’économie mondiale affronte une grave crise générée ...
Brésil, un coup d’Etat pour le Capital
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